Source: http://www.liberation.fr/france/2021/02/02/marseille-on-aime-ce-club-mais-pas-au-point-de-faire-des-violences-ou-des-degradations_1819025

Marseille : « On aime ce club, mais pas au point de faire des violences ou des dégradations »

L'article de Libération explore la réaction des supporters de l'Olympique de Marseille face à la défaite du club face à l'Olympique Lyonnais (OL) en Coupe de France. Malgré la déception, les supporters marseillais ont montré une attitude plus calme que par le passé, avec une absence de violences et de dégradations notables. Le texte met en avant l'évolution de la mentalité des supporters, qui se disent attachés à leur club mais ne cautionnent plus les actes de violence. Le journaliste note une prise de conscience des supporters face aux conséquences de leurs actions, notamment la stigmatisation de l'OM et la dégradation de l'image du club. L'article souligne également l'importance du travail effectué par les associations de supporters pour promouvoir une ambiance positive au stade et lutter contre les comportements violents. Il cite des exemples de supporters qui se sont exprimés contre les dégradations, mettant en avant l'importance de respecter l'environnement et le patrimoine. Enfin, l'article conclut en expliquant que l'évolution de la mentalité des supporters est une bonne nouvelle pour l'OM, qui aspire à un avenir plus serein et plus respectueux.

Résumé

"L'article met en avant la nouvelle mentalité des supporters de l'Olympique de Marseille, qui privilégient le respect et la paix malgré la déception face à la défaite. Cette évolution positive témoigne d'une prise de conscience et d'un désir de renouveau pour le club."

Mis à jour le: 06.17.2024

Marseille
OM
violences
Commanderie

Catégories

Marseille : «On aime ce club, mais pas au point de faire des violences ou des dégradations»

Quatorze personnes comparaissaient lundi à Marseille après les violences survenues samedi à la Commanderie, le centre d'entraînement de l'OM. Huit d'entre eux resteront en détention jusqu'à l'examen du dossier sur le fond, renvoyé au 24 février.